Présentation du contenu : 3. Charte par laquelle Guillaume, doyen de Tonnerre, frère Gui, cellérier de Pontigny, et le prêtre Pierre la Chaise, exécuteur testamentaire du feu seigneur de Beine et sa femme, font savoir qu'avant le départ de celui-ci pour la croisade ils ont, tous deux, légué à l'abbaye de Pontigny, en vue de la célébration de leur anniversaire, une rente de soixante sous à percevoir en divers lieux, et notamment sur leurs cens et coutumes de Beine (1250) [pièce extraite n° H 1456-3]. 4-5. Chartes : de l'official d'Auxerre portant confirmation par Marie, veuve dudit seigneur de Beine, de la donation précédente (1252) ; 6-7. de Hugues, doyen de Tonnerre, apprenant que Gaucher, fils de défunt Gaucher, seigneur de Maligny, a déclaré approuver et confirmer toutes les donations faites aux moines de Pontigny par ses prédécesseurs, notamment celles qui grèvent ses propriétés de Beine (1260) [pièce extraite n° H 1456-6]. 8-9. Confirmation par Gui de Maligny des donations faites à l'abbaye de Pontigny par les défunts Gui et Marie, seigneurs de Beine, sur leurs cens et coutumes en cette localité (1290). 10-11. Confirmation par Anselme de Traînel, seigneur de Beine et Sarry, et par sa femme, Béatrix, des libéralités pieuses faites aux moines de Pontigny par défunts Gui, seigneur de Beine, son épouse et le clerc Étienne de Maligny, sur les cens, coutumes et labourages de Beine, et les saulaies de Poinchy (1290) [pièce extraite n° H 1456-10]. 12-13. Vidimus du titre précédent par Nicolas des Portes, garde du scel en la justice de Saint-Florentin (1390). 14. Vidimus par le même d'une charte de l'official d'Auxerre, datée de 1252, portant confirmation par Marie, veuve de Gui de Maligny, seigneur de Beine, de la donation de 60 sous de rente sur leurs cens de Bassou, faite par elle et son mari à l'abbaye de Pontigny (1390) [pièce extraite n° H 1456-14]. 15-16. Vente par Jean Oischot et sa femme, demeurant à Beine, à Perrin Odin, dudit lieu, d'un arpent de terre en désert situé sur le territoire de cette localité, pour le prix et somme de cinq écus (1399).